Quelques citations du Bienheureux Daniel Brottier
Thérèse de Lisieux
« C’est une des plus grandes saintes qui aient jamais parues au firmament de l’Eglise… … elle a été investie par Dieu d’une mission doctrinale tout à fait adaptée à notre époque. »
« Dieu a donné à Thérèse de l’Enfant-Jésus, cette enfant morte à 24 ans au fond du Carmel, inconnue de tous, une puissance d’apostolat incroyable. Plus de dix millions d’exemplaires de l’ « Histoire d’une âme » ont été imprimés et traduits dans toutes les langues. Quel est l’écrivain, quel est l’académicien qui peut se vanter d’un pareil succès de librairie ? N’est-ce pas la preuve que le doigt de Dieu est là ? »
« La protection de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus nous interdit de douter de l’avenir. »
Prière
« Quand j’ai une décision à prendre, je prie. Je suis persuadé que Dieu m’assiste et quand je parle, je parle réellement en sa présence. »
« Le cœur d’une œuvre, c’est la vie intérieure. Quand il n’y a pas cette vie intérieure, l’œuvre décline. »
Aux jeunes
« La valeur spirituelle est le propre de l’homme. Notre situation financière, sociale peut changer. Notre valeur personnelle, intellectuelle, technique, morale, physique, demeure et demeurera toujours. Ayons à cœur de développer en nous cette personnalité que Dieu nous a donnée. »
« Devenir des hommes : tel doit être votre idéal. C’est si nécessaire, voyez-vous, mes enfants, et si difficile à la fois ! Un homme, c’est celui qui sait ce qu’il veut et qui l’accomplit coûte que coûte. C’est celui qui, une fois pour toutes s’est fixé un idéal et pour qui rien n’est trop ardu pourvu que cela l’en rapproche. Comprenez-vous tout cela, mes chers enfants ? Ne soyez pas de ces ombres d’hommes qui vont devant eux au hasard de la route, poussés par on ne sait quel destin mystérieux, tirés de-ci-de-là par des puissances tyranniques qui les torturent et les détruisent peu à peu… »
Aux éducateurs
« Si nous voulons réussir à Auteuil, il nous faut nous consacrer à ces enfants entièrement et sans arrière-pensée. J’ai dit ma messe ce matin pour les Orphelins d’Auteuil, pour que mon travail parmi eux soit fécond. Mais en même temps, je me suis offert à Dieu pour les servir jusqu’à ma mort. Je ne désire plus d’autre poste. Je veux mourir là, à leur service. »